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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 11:44
Genre : analyse informatique

Support à analyser : Terminator Renaissance
Spécifité : Reboot




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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 00:03
Genre : déclaration d'amour.

Richard, my dear,

Entre nous, ça n'a pas toujours été facile. Notre rencontre pour Quatre mariages et un enterrement ne plaçait pas notre relation sous de très bons auspices. Les comédies romantiques, c'est pas trop ma tasse de thé tu sais, même avec un nuage de lait. Mais c'était simplement ton scénario, tu ne maîtrisais pas la mise en scène, je t'ai donc laissé une seconde chance.

Nos retrouvailles grâce à Bridget ont relancé la machine. Tu m'as fais rire, mais j'avais lu le livre, alors il était difficile de te donner tout le mérite pour cette comédie sentimentale enlevée. Et puis, j'avais un peu grandi, tu as profité de mon âme de jeune fille en fleur en train de perdre son cerveau au profit des hormones. On était loin du grand amour malgré tout, on continuait à se chercher, et si Love Actually nous a de nouveau rapprochés, il manquait la révélation, ce petit truc qui vous ouvre les yeux sur la réalité des sentiments.

Et tu as trouvé mon point sensible, (voire un autre point, mais je ne peux pas m'étendre là-dessus, des jeunes ados lisent ce blog tu sais), maintenant je peux te le dire sans rougir, sans mentir, sans plus de préliminaires : Je t'aime, Richard.

Rhys Ifans et Bill Nighy. StudioCanalTalulah Riley et Nick Frost. StudioCanalPhilip Seymour Hoffman. StudioCanal

Je t'aime parce que Good Morning England est de ces films qui me font planer. Je t'aime parce que tu as compris qu'il manquait un peu de rock dans tes comédies. Je t'aime parce que tu as réussi à extirper Chris O'Dowd de sa cave d'informaticien et à séparer Rhys Darby de son groupe néo-zélandais, que Philip Seymour Hoffman avec une barbe et un surnom français frôle le torride, que tu m'as fait découvrir qui était Rhys Ifans, que voir Nick Frost sans Simon Pegg c'est sympa aussi, et que Bill Nighy m'a fait mourir de rire sans dire un mot. Je t'aime parce que tu n'es pas parfait, mais que tu assumes la caricature, les situations clichés presque théâtre de boulevard, et les dénouements irréalistes. Je t'aime parce qu'avec toi, j'ai pris mon pied pendant deux heures (et oui, ça compte dans une relation).

Je t'aime, mais je te déteste. Déjà parce que l'un ne va jamais sans l'autre, mais surtout parce que cette plongée délectable a pris fin après un superbe générique. Je te déteste parce que les sixties, c'est fini, et que j'aurais adoré vivre sur ce bateau. Je te déteste parce que c'est la crise, que les radios pirates sont mortes, et que si aujourd'hui on peut dire "Fuck" sur les ondes, on ne peut pas insulter Nicolas Sarkozy (bon c'est pas ta faute, je sais). Je te déteste parce que tu as fais ressurgir ce vieux regret de ne pas être née à l'époque où Mick Jagger n'était pas vieux, où Keith Moon était encore vivant, et où le simple fait de remonter sa jupe au dessus du genou était un délit très excitant.

Mais tu as raison, j'ai tendance à me lamenter pour rien, je sais. Alors je vais revenir au plus important, et te dire merci, Richard. Merci, merci, merci pour ce "feel-good movie", merci pour le rock'n roll, merci pour le sexe et les pétards, merci pour le flash-back, merci pour ton imperfection qui te rend si séduisant, et fait de toi l'homme de ma vie... actually.

Philip Seymour Hoffman, Nick Frost et Rhys Ifans. StudioCanal



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9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 10:13
Acteurs anglais, réalisatrice canadienne et histoire irlandaise, tout l'ancien commonwealth du royaume britannique ou presque est réuni dans 50 dead men walking, adaptation du livre éponyme de Martin McGarland, un irlandais du nord qui inflitra l'IRA pendant les années 80 pour le compte de la police anglaise. Une histoire vraie donc, que la réalisatrice Kari Skogland (notamment à la réalisation pour de nombreux épisodes de séries américaines, The L world, Queer as folk), porte à l'écran avec Jim Sturgess, Ben Kingsley et Rose McGowan en tête d'affiche.

Cinématographiquement, 50 dead men walking n'est pas parfait. Si la réalisatrice se distingue par une reconstitution minutieuse de ces années 80 où la pauvreté qui règne en Irlande du Nord favorise les extrèmes, elle perd son avantage lors de séquences intermédiaires, censées faire avancer l'histoire sans ennuyer le spectateur. Problème, ses procédés très tape-à-l'oeil (superposition d'image, musique rythmée tendance "clip"), et une tendance au pathos viennent contredire la réalisation réaliste à la limite du documentaire. Plus insidieusement, ils mettent alors en doute la véracité des éléments rapportés, en tentant d'alimenter une machine à suspense inutile, au regard de l'histoire originale, suffisamment passionante pour ne nécessiter aucun ajout.

Historiquement, 50 dean men walking se révèle passionant et instructif pour les spectateurs non-irlandais. Loin des visions américaines de la lutte armée, plus tard dans le temps que le Bloody Sunday, l'histoire de Martin McGarland permet de comprendre et d'appréhender, à travers des personnages issus des classes ouvrières, les tensions et les inégalités qui ont favorisé la lutte armée. Martin n'a rien d'un idéaliste, ses motivations, financières, affectives, théologiques, vont varier, évoluer au fil du temps. L'interprétation de Jim Sturgess vient ici renforcer la crédibilité du personnage. Complètement imprégné par son rôle, il est à des lieux du sexy Jude d'Across the Universe.

En Irlande, une certaine polémique a entouré la sortie du film. Martin McGarland lui-même a en effet tenter d'empêcher sa diffusion, jugeant qu'il ne respectait pas suffisamment les évènement réels, tels qu'il les rapportait dans son livre. Et puis, les Irlandais commencent à se lasser des films qui reviennent encore et toujours sur les agissements de l'IRA. Si pour un étranger, 50 dead men walking se révèle captivant, ce n'est pour eux qu'une adaptation passable de best-seller.


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14 avril 2009 2 14 /04 /avril /2009 14:17
Alors que nos amis anglais s'apprête à débarquer en salle devant la caméra de Mr Love Actually, je vais leur préférer leurs vieux rivals de toujours, avec une petite excursion du côté de l'ïle des trèfles, de la Guiness et du wiskey ! Retour dans 15 jours, peut être avec quelques critiques de films vu en irlandais sous-titrés anglais ! ;)

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 17:11
Ils étaient tous là. Les plus grandes stars, les plus grands réalisateurs, les plus grandes actrices mais aussi les meilleurs bloggueurs, pour assister à la première cérémonie des Sponges awards, appelés à régner bientôt sans partage sur le petit monde des récompenses cinématographiques. En mélangeant avec talent un brin d'Oscar, un soupçon de César, beaucoup de Dali relevé d'une pointe de Razzie, les Eponges d'or (bientôt renommées avec un prénom, vu que ça le fait mieux) ont su toucher le public, suscitant une vague de votes à faire pâlir le comité Miss France.

C'est donc dans la salle polyvalente de Cosnes-et-Romain, recouverte pour l'occasion d'un tapis rouge légèrement spongieux (la pluie était aussi de la partie), que les stars ont défilé, déposées par la navette sncf relookée en énorme éponge dorée. Car c'est aussi ça l'esprit des Sponge awards, une vraie volonté de proximité avec la France d'en-bas, si chère au coeur de notre président d'honneur Jean-Pierre Raffarin (une enveloppe de 1000 euros a été déposé chez nous en échange de ce titre, y'en a un qui tente un retour...). Evidemment, la classe était aussi de la partie, et les personnes âgées de la maison de retraite d'en face ont ainsi pu profiter d'un véritable défilé de haute-couture. De quoi faire s'exclamer Ginette pour qui, dixit, « Ca changeait vraiment des éternelles blouses à fleur qu'on se trimballe ».

Une fois installés les Brangelina, Cruzbardem, Coen, Boyliwood et consorts, la cérémonie s'est ouverte avec l'entrée fracassante (au sens propre) de sa première maîtresse. L'accès au bar était ouvert dès l'arrivée des premiers invités, et lors de sa séance maquillage, la grande Ashtray-girl s'et enfilé un certain nombre de scotch pour se donner du courage. Résultat, son entrée entre les miroirs pivotants de la salle s'est transformée en entrée à travers les miroirs pivotants, lumineux. C'est donc légèrement ensanglantée mais avec une maîtrise de soi digne de Gérard Depardieu qu'Ashtray-girl déclara ouverte la première cérémonie des Sponges awards.

Ceci est un message de la SACEM : « Suite aux non-paiements des droits d'auteurs et de diffusion des différents supports utilisés lors de cette manifestation illégale et dépravée, nous nous sommes vu dans l'obligation de confisquer les pellicules de Super 8 utilisées pour l'enregistrement. De plus, à la demande de Mr McAvoy James, une ordonnance d'éloignement à l'encontre de Mlle Girl Ashtray a été déposée auprès du tribunal correctionnel de Briey. Mr McAvoy a justifié cette demande par l'attitude « fucking crazy » de Mlle Girl, qui se serait notamment accrochée à sa chaussure. »

Cette confiscation nous voit dans l'obligation de résumer ici les meilleurs moments de cette soirée, marquée par une consécration posthume et une déchéance préhume (ou ulthume, enfin, de son vivant quoi).

Le premier prix de la soirée, remis des mains d'une Ashtray-Girl qui avait enfin lâché la cheville de James (contrainte et forcée par l'intervention de DZ), était pour le film d'animation de l'année. D'une courte tête, le premier Sponge award de l'humanité a été attribué à Wall-E. Le petit robot n'était pas là pour recevoir son prix (ben non, c'est pas un vrai. Hé oui, je sais, c'est triste), mais son pote le robot blanc Sony était venu à sa place. Une demi-heure après l'annonce, il finissait sa traversée de la salle et atteignait enfin la scène dans un silence gêné, où seules les huées d'un énergumène, vêtu d'un tee-shirt à motif de papier-peint, avaient remplacés les applaudissements. C'est avec une émotion non-contenue que les invités ont écouté le discours du robot, à qui les 10 000 mots de vocabulaire de son programme IA ont permis de remercier son producteur.

Heath Ledger. Warner Bros.Parmi les grands moments, on retiendra l'instant recueillement lors de la remise de la performance masculine au regretté Heath Ledger, la salve d'applaudissement qui salua la victoire sans conteste de Nicolas Cage dans la catégorie « acteur qui devrait penser à arrêter le cinéma ». A l'évidence, ses collègues le soutiennent dans cet effort. Le Samu a du intervenir a plusieurs reprises, d'abord lorsque DZ a défailli en remettant le Sponge awards de l'acteur qu'on a vu partout sans se lasser à  Mathieu Amalric, puis pour ranimer MG qui a eu « une petite faiblesse » après que Scarlett Johansson lui ait effleuré le bras dans un couloir. Bien plus maître de lui-même, c'est avec une nonchalance appliquée que Snifff a pu remettre à Paul Dano le Sponge de « l'acteur qu'on aurait aimé voir partout. » On également pu apprécier la super contenance d'Anna, qui s'est retenue d'exulter en annonçant la victoire de Thomas Langmann dans la catégorie « réalisateur qui devrait penser à arrêter le cinéma ».

Autre grand moment, la remise du Sponge awards d'honneur, attribué avec un plaisir non dissimulé par Ashtray-Girl à son Clyde, Vincent. Les raisons de l'attribution de ce prix ont été expliqué par le président ouzbèque du jury, malheureusement, le traducteur était absent, coincé avec Borat au poste de police voisin. Très ému, Vincent a remercié Benoît XVI et les agriculteurs du Pas-de-Calais qui l'ont tant aidé et soutenu lors de ses débuts.

Ce Sponge awards d'honneur était le signal de départ en direction de la boîte de nuit voisine, où tout le monde n'a pu rentrer (c'était pas sur invit' non, c'était juste trop petit). On passera sous silence les événements qui ont suivi, car il y a toujours des ados de 14 ans qui viennent ici (sans qu'on comprenne pourquoi).  La première cérémonie des Sponge awards fut donc un succès, résultat, l'année prochaine, on passe à la mini-DV pour les images !


(Deux énormes fautes se sont glissées dans cette image, sauras-tu les retrouver ? Non, en fait ne chercher pas, y'a pas de fautes, non-non.)


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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 20:52
Quand Steve Hewitt annonce son départ de Placebo en octobre 2007, on est un peu inquiet. Certes, Steve ne faisait pas partie du duo créateur Molko/Olsdal, mais le batteur était là aux premiers balbutiements d'un groupe qui alors, s'appelait encore Ashtray Heart. Au fil des mois, l'inquiétude grandit chez les fans, aucune info ne filtre, silence radio. Fin 2007, une rumeur court selon laquelle le groupe va fusionner avec un groupe français (Indochine selon certains) pour un album commun. Démenti, et nouveau silence radio.
Pendant ce temps, Stefan Olsdal fait une petite escapade en solo, histoire de concrétiser un projet perso avec son autre groupe, Hotel Persona. Six mois plus tard, Placebo dévoile la tronche de son nouveau batteur, un autre Steve, blond, et américain. Le trio est au complet, direction les studios de Toronto pour un nouvel album produit par Marc Bottril (producteur du Origin of symetry de Muse entre autres).
Le premier résultat apparait il y a quelques semaines avec la mise en téléchargement légal d'un nouveau titre, Battle for the sun, qui donnera également son titre au nouvel album, dont la sortie est prévue pour le 8 juin. A l'écoute, on se prend à espérer un retour à l'esprit des deux premiers albums, d'autant que Battle for the sun sera le premier opus du groupe à être distribué à travers un label indépendant, Pias, après la fin de son contrat chez Virgin.

Télécharger le titre gratuitement ici. Spécial Cacedédi pour Ashtray-girl ! ;)


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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 13:32
Pendant que certains discouraient de la beauté de leur relation sur le meilleur blog du monde, la rédactrice en chef dudit blog était en train de se faire écraser par une foule de fans en délire (pas les siens, ben non, faut pas rêver). Car l'Eponge, dévouée qu'elle est à la survie de son micro-système, avait quittée sa barrière de corail protectrice pour affronter les grandes eaux, tel Marin et Nemo réunis. Perdue dans les sombres dédales des Halles, elle parvint malgré tout au but de son périple : le forum des images.
Ainsi, un grain de raisin dans une main, un verre de coca dans l'autre (ouais, elle avait un peu abusé le soir précédent, averti par Vincent de la mince possibilité de picoler lors des soirées allociné), bref, les mains occupées donc, elle a fait l'expérience de l'apnée en espace confiné, surchauffé et bondé, regrettant à cet instant précis les grandes étendues de sa campagne océanique originelle (surtout quand un coup de coude malencontreux fit voler un peu de vin rouge d'un verre non-identifié vers son magnifique t-shirt rose). Enfin, le salut vint d'une ouverture de porte inopinée, qui entraîna une vague proche du tsunami. L'Eponge ne dut sa survie qu'à sa grande expérience des courants marins, et arriva saine et sauve sur l'un des sièges les plus excentrés de la salle de cinéma.
Bref, pour ceux qui n'auraient pas tout suivi, votre serviteur spongieuse était donc à l'avant-première d'OSS 117 : Rio ne répond plus. Elle n'a croisé personne de sa connaissance, mais les noms sur les badges étaient écrits un peu petit, et a fait de petites vidéos pour vous en faire profiter. Sauf que là, ben elle est un peu embêtée, parce qu'elle n'arrive pas à les faire passer de son téléphone portable à son mac (compatibilité quand tu nous tiens). D'ici qu'elle squatte un PC pour faire des transferts, on espère les vidéos avant le prochain changement d'heure (oui, pas celui-là, l'autre).

De même, lorsqu'elle aura enfin réussi à se servir d'Imovie, le résumé en images de la grande soirée des Sponges awards devrait faire regretter à tout ceux qui avaient préféré la soirée Allociné Family & Friends de n'avoir pas plutôt opté pour la salle des fêtes de Cosnes-et-Romain ! Et ouais, parce qu'à Cosnes-et-Romain, y'avait vachement plus d'espaces. Un peu trop même.



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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 12:03
Pendant que les millions de votes générés par les Sponge awards sont comptabilisés par notre ordinateur russe des années 80 entreposés dans notre siège secret d'Ouzbekistan, un petit intermède méchant et cruel s'impose. Histoire de faire patienter le votant impatient de savoir s'il va enfin voir son favori emporter la fameuse Eponge d'or, crée et fondue par Paris Hilton herself.

Bon alors, sinon, qu'est ce qu'on a pu voir de vraiment bien naze en 2008 ?
Pour être honnête, la proportion de bons films par rapport aux chefs d'oeuvre est assez effrayante. A l'évidence, il est toujours aussi facile de trouver un producteur avec scénar qui tient sur un post-it...

Du simple raté au nanar de base, les vainqueurs sont...



15 Dante 01 : Malgré toute l'admiration qu'on peut avoir pour Caro, pour sa première réalisation en solo, le comparse de Jeunet s'est planté. Et pas qu'un peu. Même son travail d'ambiance ne sauve pas un scénario incompréhensible (pourtant écrit par Pierre Bordage) et un rythme lent, lent, lent.

14 The Spirit : Même en anglais non-sous-titré, j'ai tout compris, c'est dire si les dialogues sont stupides. Et mise à part le délire sur les nazis dont le mauvais goût m'a beaucoup fait rire, pas grand chose à sauver.

13 Seuls two : Eric, Ramzy, Paris... et pis c'est tout. C'est moyennement drôle et franchement long.

12 Max Payne : Ouuuh attention, Mark Wahberg a un gros flingue et il va te casser la gueule.

11 30 jours de nuit : Ce film est responsable de ma plus grosse déprime depuis l'adolescence, et en plus il est mauvais. Bon, à part l'effet sur la neige la nuit, seul truc à sauver.

10 Made in Italy : L'Italie à coup de gros clichés et de situations grotesques, berk.

9 X-Files - Régénération : Une histoire inintéressante, pas de rythmes et une drôle de façon de revisiter la relation entre Mulder et Scully, rendez-nous la série !

8 Taken : La seule séquence bien dans ce film, c'est quand les deux djeuns trooop contentes d'être à Paris dans sur les Hives dans leur appart.

7 L'oeil du mal : Bon, d'accord y'a Shia Laboeuf, mais ça reste un thriller de seconde zone.

6 Le Transporteur 3 : Eh tu sais quoi ? Jason Statham, il est tellement fort, qu'en gonflant des sacs plastiques avec l'air de ses pneus, il sort une Audi A8 d'un lac.

5 La Momie – La tombe de l'Empereur dragon : La différence avec les autres ? La Momie ressemble vaguement à Jet Li cette fois, et y'a plus Rachel Weiz.

4 Wanted – Choisis ton destin : Si tu as trouvée que James McAvoy était vraiment trop "cute" dans Penelope, ne regarde jamais Wanted.

3 Benjamin Gates et le livre des secrets : Dis donc, c'est mignon cette coiffure Nicolas. Nan vraiment. A part ça quoi de neuf ? Ah tu dois venger l'honneur de tes ancêtres et kidnappant le président des Etats-Unis ? Dur.

2 Astérix aux jeux olympiques : Euh, à la fin y'a Tony Parker et Zidane.

1 La loi et l'ordre : Comment t'as pu faire CA Jon ???


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23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 12:59


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16 mars 2009 1 16 /03 /mars /2009 10:32

C'est la cérémonie dont tout le monde parle, des montagnes du Turkmenistan aux plages de Bora-Bora (faut dire que comme on n'a pas pu payer les droits TV, on diffuse l'information sur les ondes courtes, à l'ancienne...), la première cérémonie des Sponge awards se tiendra la semaine prochaine à la salle polyvalente de Cosnes-et-Romain (on a eu un prix d'ami !), en présence de tout le gratin du cinéma international (en tout cas, on a envoyé les invit').

Les Sponge awards ont été créé par un comité de cinéphiles luxembourgeois, yéménites et chilien dans l'idée de reflèter enfin le choix des bloggeurs allocinéens. Sa date a été choisie pour coïncider avec l'arrivée du printemps (enfin, officiellement, sinon c'est simplement pour ne pas faire de l'ombre aux Oscars et aux Césars).

Et pour paraphraser notre ami grec fan de Johnny :

CE SOIR, C'EST VOUS QUI DÉCIDEZ !
                                                                                                     (ceci est une éponge)

Pour chaque prix, quatre nominés sélectionnés sur un simple critère :
Le ciné de l'Eponge a vu le film ! (ça aide). 
Ceci expliquera l'absence de certains réalisateurs, acteurs ou actrices.
Les catégories ont été crées pour varier un peu du mode habituel.

Vous pouvez voter en ajoutant un commentaire ou en cliquant sur "Écrire à l'auteur".

Vote clos le dimanche 22 mars à 21h37 !

Notre comité polyglotte et spongiophone se réunira le lendemain pour dépouiller les bulletins en présence de Me Collard avant une remise des prix exceptionnelles en présence de tous les nommés et des gagnants (en tout cas, on a envoyé les invit') retransmise en direct sur Free TV
(on négocie les droits).

En maintenant (prononcé d'une voix suave, profonde, et sérieuse) :
les nommés sont...



de l'adaptation de l'année



Largo Winch de Jérôme Salle - Gone Baby Gone de Ben Affleck
Reviens-Moi de Joe Wright - Iron Man de Jon Favreau



du polar de l'année



Gone Baby Gone de Ben Affleck, No country for old men de frères Coen
Pour elle de Fred Cavayé - Go fast de Olivier Von Hoffstadt



du film d'animation de l'année



Wall-E d'Andrew Stanton - Valse avec Bachir d'Ari Folman
Chasseurs de dragons
d'Arthur Qwak et Guillaume Ivernel - Kung-Fu Panda de Mark Osborne et John Stevenson



du film qu'on aurait préféré ne pas voir en 2008



X-Files Régénération de Chris Carter - La Momie-La tombe de l'empereur dragon de Rob Cohen
La loi et l'ordre de Jon Avnet - Asterix aux jeux olympiques de Thomas Langmann



du petit film sympa de 2008



Juno de Jason Reitman - Le premier jour du reste de ta vie de Rémi Bezançon -
Penelope de Mark Palansky - Le crime est notre affaire de Pascal Thomas



 de la performance féminine de l'année


Tilda Swinton. StudioCanalKeira Knightley. StudioCanalAngelina Jolie. Universal PicturesEllen Page et Olivia Thirlby. Twentieth Century Fox France


Tilda Swinton dans Julia - Keira Knightley dans Reviens-Moi
Angelina Jolie dans L'échange - Ellen Page dans Juno



 de la performance masculine de l'année


Heath Ledger. Warner Bros.Leonardo DiCaprio. Warner Bros. FranceToni Servillo. StudioCanal


Heath Ledger dans The Dark Knight - Daniel Day Lewis dans There will be blood -
Leonardo Di Caprio dans Mensonges d'Etat - Toni Servillo dans Il Divo



du casting qui en jette



La bande à Baader d'Uli Edel - The Dark Knight de Christopher Nolan
Mesrine 1 et 2 de Jean-François Richet - Astérix aux jeux olympiques de Thomas Langmann.



de celui qu'on a vu partout en 2008... sans se lasser


Shia LaBeouf. Paramount PicturesJames McAvoy. StudioCanalMathieu Amalric. Sony Pictures Releasing FranceStudioCanal / Séverine Brigeot


Shia Labeouf notamment dans Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal et L'oeil du mal
James McAvoy notamment dans Reviens-Moi,  Penelope, et Wanted - choisis ton destin
Mathieu Amalric notamment dans Mesrine 1 et 2 et Quantum of Solace
Clovis Cornillac notamment dans Astérix aux jeux olympiques et Le nouveau protocole.



 de celui qu'on aurait aimé voir partout en 2008

Ben Barnes. Walt Disney Studios Motion Pictures FranceSony Pictures Releasing FrancePaul Dano. Walt Disney Studios Motion Pictures FranceTomer Sisley. Wild Bunch Distribution


Ben Barnes vu dans Le Monde de Narnia-Le Prince Caspian - Jim Sturgess vu dans Las Vegas 21
Paul Dano vu dans There will be blood - Tomer Sisley vu dans Largo Winch



 de celle qu'on a vu partout en 2008... sans se lasser


Scarlett Johansson. Sony Pictures Releasing FranceKeira Knightley. StudioCanalCharlize Theron. Wild Bunch Distribution


Scarlett Johannson vue notamment dans The Spirit et Vicky Cristina Barcelona
Diane Kruger vue notamment dans Pour Elle et Benjamin Gates et le livre des secrets
Keira Knightley vue notamment dans Reviens-Moi
Charlize Theron vue notamment dans Hancock et Bataille à Seattle



de celle qu'on aurait aimé voir partout en 2008


Jennifer Hudson. Metropolitan FilmExportWarner Bros. FrancePenélope Cruz. Warner Bros. FranceMetropolitan FilmExport


Jennifer Hudson vue dans Sex and the city-le film - Cristina Ricci vue dans Speed Racer et Penelope
Penelope Cruz vue dans Vicky Cristina Barcelona - Jennifer Connelly vue dans Le jour où la terre s'arrêta



de l'acteur/actrice qui devrait penser à arrêter le cinéma


Al Pacino. Emmett/Furla FilmsNicolas Cage. Walt Disney Studios Motion Pictures FranceWarner Bros.Vahina Giocante. Thibault Grabherr


Al Pacino notamment après La loi et l'ordre (parce qu'on l'aime trop pour supporter ça)
Nicolas Cage notamment après Benjamin Gates et le livre des secrets (parce qu'à force, on a oublié son dernier bon film)
Kate Bosworth notamment après Las Vegas 21 (y'a vraiment besoin d'un film de plus pour en être sur ?)
Vahina Giocante notamment après Secret Defense (juste parce que le jury ne l'aime pas).



 du réalisateur qui devrait arrêter le cinéma


AlloCinéAlloCinéParamount Pictures


Jean-Paul Salomé notamment pour Les femmes de l'ombre (parce qu'avec une telle histoire, on pouvait faire largement mieux)
Thomas Langmann pour Astérix aux jeux olympiques (qu'il se contente de produire, ça vaudra mieux)
Jon Turteltaub pour Benjamin Gates et le livre des secrets (au bout de deux, ça se confirme)
Jon Avnet notamment pour La loi et l'ordre (un tel film avec de tels acteurs, c'est limite outrageant)



 de la fin qui fait mal



Cloverfield de Matt Reeves - There will be blood de Paul Thomas Anderson
Valse avec Bachir
d'Ari Folman - Sweeney Todd - le diabolique barbier de Fleet Street de Tim Burton



du costume qui en jette


Johnny Depp. Warner Bros. FranceJack Black. EuropaCorp DistributionScarlett Johansson. Sony Pictures Releasing FranceWarner Bros.


Johnny Depp dans Sweeney Todd - le diabolique barbier de Fleet Street
Jack Black en Robocop dans Soyez sympas rembobinez
Scarlett Johansson dans The Spirit
Le casting de Speed Racer



  du maquillage "je me fonds dans le personnage"


Robert Downey Jr. et Ben Stiller. Paramount Pictures FranceRon Perlman. Paramount Pictures FranceHeath Ledger. Warner Bros.Vincent Cassel. La Petite Reine / Roger Arpajou


Robert Downey Jr dans Tonnerre sous les tropiques (et sa mise en abîme)
Ron Perlman dans Hellboy II - les légions d'or maudites
Heath Ledger dans The dark Knight
Vincent Cassel dans Mesrine (qu'il ait pas pris 15 kg pour rien)


Tous les nommés sont là, alors, à vos téléph... à vos claviers !


VOTEZ !


(Et pendant ce temps, on réfléchit à un moyen de contourner l'interface allociné lors des récompenses, histoire de pas avoir envie de se tirer une balle en passant cinq heures dessus)



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